La Fondation EDF présente, à partir du 29 novembre, Black Bamboo, une installation de l’artiste Nils-Udo, l’une des rares réalisées dans un espace intérieur.
L’art japonais du kirigami (de kiru « couper » et kami « papier ») consiste à plier et à découper extrêmement finement un motif avec un cutter de précision dans une seule feuille de papier (souvent du papier de murier, le washi), sans repentir.
Du 9 novembre 2019 au 8 mars 2020 le Musée des Tissus de Lyon célèbre l’un des plus grands créateurs du 20e siècle : Yves Saint Laurent. L’exposition « Yves Saint Laurent. Les coulisses de la haute couture à Lyon » met en lumière les liens privilégiés entretenus par le couturier durant quarante ans de collaboration avec les soyeux lyonnais, fabricants et fournisseurs des tissus et étoffes de la région.
6 choses que j’aime cette semaine : avec de la magie blanche pour libérer ses énergies, apprendre à s’épanouir dans le respect de la nature… Avec une danse des sorcières balinaises Tjalon Arang ; une sculpture de JuliAbout à voir chez Empreintes ; un collier de Terhi Tolvanen, les perles autocollantes de maquillage de Kamakula, les fleurs portées au cou de la collection printemps/été de Victoria Beckham et une citrouille géante, sculpture de l’artiste japonaise Yayoi Kusama exposée depuis le 14 octobre Place Vendôme.
Au XIXe siècle, de nouveaux procédés d’imprimerie permettent l’impression et la reproduction facile et économique d’un texte ou d’une image. Le photographe japonais Ogawa Kazumasa ouvre en 1889 la première imprimerie de phototypie-collotypie du Japon et imprime des photographies de fleurs qui sont ensuite peintes à la main.
Eat me est une installation artistique, intelligente et joyeuse sur la surconsommation, les déchets, l’environnement. L’artiste Lor-K a mené un projet de street art à partir de matelas abandonnés dans la rue, qu’elle a convertis en portions de plats de street food salés et sucrés.
Une magnifique installation, Paper Complice, est actuellement exposée à la Galerie 35, Viaduc des Arts, dans le 12e arrondissement de Paris. Deux dioramas féériques en papier, représentant le monde sous-marin et la forêt, ont été conçus à 4 mains par les artistes Isabelle Faivre et Junior Fritz Jacquet.
La Fondation Cartier pour l’art contemporain présente, jusqu’au 10 novembre, une grande exposition consacrée aux arbres, êtres vivants essentiels à la vie !
L’artiste Jan Hakon Ericksen éclate le plus sérieusement du monde des ballons de baudruche dans un déchainement d’idées loufoques mais efficaces !
Cet été, des spectacles captés à l’Opéra Bastille ou au Palais Garnier seront diffusés en plein air et gratuitement sur votre lieu de résidence ou de vacances. Découvrez ou redécouvrez, jusqu’au 7 septembre, ballets et opéras célèbres.
Les histoires de succès discographiques « fripons » sont à découvrir au musée en ligne de la SACEM : des chansons coquines, des années 50 à aujourd’hui, de Juliette Gréco à Doc Gynéco, de Colette Renard à Zazie en passant par Alain Chamfort, Lio ou Georges Brassens. Des nuances musicales d’érotisme déclinées en musique.
L’Association Azzedine Alaïa présente l’ensemble des modèles de la collection Tati de 1991, demeurée iconique dans le parcours du couturier. A découvrir jusqu’au 5 janvier sous la verrière de la maison de couture Alaïa.
L’artiste japonais Masayoshi Matsumoto sculpte des animaux et des végétaux avec des ballons. Il n’utilise ni adhésif, ni marker. Rien à part des ballons.
Le Palais Galliera présente Back Side, dos à la mode, une exposition hors les murs, consacrée au vêtement vu de dos, accueillie au musée Bourdelle.